Une second cas de vache folle aux States
C'est confirmé, une vache d'origine états-unienne souffrait de l'ESB. Le lobby des éleveurs américains est d'ailleurs bien silencieux sur ce nouveau cas.
Notre cher premier ministre, monsieur Martin, s'est empressé d'annoncer qu'il n'était pas surpris et que la frontière américaine aurait dû être ouverte au boeuf canadien depuis longtemps...
On sait que les États-Unis après la découverte du premier cas de vache folle, une vache originaire de l'Alberta, ont interdit l'importation de viande de leur cher ami, meilleur allié et voisin du Nord. Les pertes pour les éleveurs canadiens se chiffrent à 7 milliards de dollars en deux ans malgré une réouverture partielle de la frontière.
Le Canada, pas mesquin pour deux sous, n'envisage aucune mesure de ce genre. C'est l'inconvénient d'être un nain qui vit à à l'ombre d'un géant.