Ils sont fadas ces Rosbifs!
Payer pour s'éreinter? C'est possible et même que les ouvriers en redemandent avec le sourire.
Certains viticulteurs français ont déniché une source inespérée de main-d'oeuvre agricole saisonnière qui se fait rare, très rare dans l'Hexagone vu la pénibilité du travail, les longues heures et les salaires de misère versés.
En échange de quelques euros déboursés, certains auront la chance de repartir avec une bouteille de vin nouveau fait de leur main.
Rien de mieux que des touristes britanniques en vacances pour un petit coup de main. Pourtant la France a tant de chômeurs...
Source : The Independant, édition du 29 septembre 2005.